Comme en témoigne la photo de mon précédent post, j’ai bien interviewé Liza Minnelli samedi après midi dans la suite d’un grand hôtel parisien, pendant un peu moins d’une heure. Je ne peux évidemment rien révéler sur le contenu de cet entretien. Vous pourrez en lire de très larges extraits dans le numéro de décembre de Têtu, qui sera en kiosques très précisément le jeudi 17 novembre (les abonnés l’ont en général deux ou trois jours avant). Tout ce que je peux dire, c’est qu’elle est encore plus démente que ce que j’imaginais et qu’après mon départ elle a confié à promoteur de sa tournée, qui me l’a rapporté ensuite, «I’m sure he even knew the size of my bra !» (ce qui n’est pas le cas). Je suis en tout cas très heureux des quelques moments passés avec elle. J’avoue que je n’avais jamais connu pareil «client» pour une interview. Il faut dire qu’avec un arbre généalogique et une carrière pareils, il y a de la matière à explorer. Elle viendra en concert le 26 février à Paris, au Palais Garnier. Les places seront en vente à peu près au moment de la sortie du Têtu. Mon ami pointilliste trouvera ce billet encore une fois un peu froid (mais il a eu droit à un compte-rendu privé dans les 5 minutes qui ont suivi), et c’est bien parce que je ne dois rien dire sur le contenu. Lisez le Têtu le moment venu et vous comprendrez. J’ose l’affirmer : c’est la meilleure interview de ma carrière de journaliste (celui qui avancera que «c’est normal puisque toutes les autres étaient nases» verra son adresse IP promptement bannie de ce blog…).