Le concert était initialement prévu au Bataclan. Il a été relocalisé à la Cigale, sans changement de date. A part ça, contrairement à Madonna la semaine dernière, Peaches n’était pas à Paris pour faire du sentiment ou des jolis discours. 1h20 de concert quasiment sans interruption, une énergie au max, 4 rappels.

Une arrivée sur Four Women, de Nina Simone. Un début de concert avec Rub. Quelques classiques comme The teaches of Peaches, Boys wanna be her, Lovertits. Un danseur et une danseuse très queer. Une incroyable balade au dessus du public dans un tunnel fermé en tissu, gonflé par un ventilateur pendant Dick in the air. C’est la première fois que je voyais Peaches. Je n’ai pas été déçu, même si j’ai failli y laisser mes tympans tellement les gens hurlaient.

J’étais autorisé à prendre quelques photos pendant les fameuses « trois premières chansons » (ce principe est tellement absurde). Cela laisse peu de temps, surtout quand pendant une bonne partie des chansons toute la salle saute et que le sol tremble. J’ai tout de même réussi à en tirer quelques unes correctes.